Un silence complice
22 juillet 2014Publicité
Tandis que le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, qualifie l'offensive de "cruelle" et réclame son arrêt immédiat, la plupart des pays européens semblent s'abstenir de critiquer Israël auquel ils reconnaissent le droit de se défendre. Les États-Unis, eux, ont dépêché le secrétaire d'état John Kerry au Caire pour arracher un cessez-le-feu. Comment analyser ces différentes réactions ? Pourquoi sont-elles si tardives ?
Éléments de réponse avec Michel Warschawski, directeur de l'Alternative Information Center, à Jerusalem.