Racisme à tous les niveaux en Italie | PROGRAMME | DW | 13.03.2014
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PROGRAMME

Racisme à tous les niveaux en Italie

L'Italie en crise, ne semble pas prête à une réflexion profonde sur l'intégration. Nous tenterons de comprendre pourquoi. Et puis la campagne des européennes avec la nomination des chefs de file des partis

Cecile Kyenge, l'ex ministre de l'intégration italienne, a subi d'innombrables insultes racistes

Cecile Kyenge, l'ex ministre de l'intégration italienne, a subi d'innombrables insultes racistes

On se souvient de cette ministre italienne de l'intégration, la congolaise Cécile Kyenge, en butte à de nombreuses insultes et qui avait forcé l'admiration par son calme.

Le nouveau gouvernement italien de Matteo Renzi n'a pas estimé nécessaire de maintenir un ministère de l'intégration

Le nouveau gouvernement italien de Matteo Renzi n'a pas estimé nécessaire de maintenir un ministère de l'intégration

Il n'empêche le nouveau gouvernement de centre-gauche n'a pas nommé de nouveau ministre de l'intégration et a même aboli ce ministère. Une décision qui laisse planer de nombreux doutes sur l'avenir des centres de rétention administratives cloués au piloris par l'opinion publique et surtout, sur les questions de racisme et d'intégration alors que l'intolérance se fait de plus en plus sentir en Italie vis à vis des étrangers. C'est ce que nous montre le reportage de notre correspondante à Rome Ariel Dumont

Personaliser la campagne

Après bien des hésitations c'est donc l'ancien Premier ministre du Luxembourg et ex président de l'Eurogroupe, l'inusable Jean-Claude Juncker, qui mènera la campagne du PPE pour les élections européennes du 22 au 25 mai.

est à Dublin que les partis du centre droit ont élu Jean-Claude Juncker, pour mener la campagne

C'est à Dublin que les partis du centre droit ont élu Jean-Claude Juncker, pour mener la campagne

Face à lui, l'Allemand Martin Schulz, président du Parlement européen, qui représente les socialistes. Vieux routier de la politique européenne, critique de l'austérité à tout va, il n'a jamais exercé de charge gouvernementale. Le vainqueur du scrutin devrait être le candidat à la succession de Jose-Manuel Barrosso, le président de la Commission européenne, ce que contestent certains chefs d'état. Alors ce choix va-t-il convaincre des Européens très eurosceptiques de se rendre aux urnes? Marco Incerti, chercheur au CEPS (le Centre for European Policy Studies) à Bruxelles est sceptique. Trois autres postes doivent également être distribués à l'issue de ce scrutin : le poste de Président du Parlement bien sur mais surtout celui de président du Conseil européen et celui de chef de la diplomatie. On peut s'attendre à de sérieux marchandages...!

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